L'ÎLE DE LOMBOK




L'Indonésie abrite les vieilles dames les plus sympathiques du monde


LES ÎLES GILI

L'ÎLE DE BALI

Devant presque chaque maison ou commerce à Bali, on retrouve des offrandes de ce genre. Pas mal cute.


La ville d'Ubud, à Bali

COMBATS DE COQS ULTIME (ULTIMATE COCK-FIGHTING CHAMPIONSHIP - UCFC)
Ouin. Myoung et moi sommes allés voir des combats de coqs à côté d'un temple. Vraiment pas touristique comme truc, on était les seuls non-Indonésiens.


SURVIVRE À UNE ATTAQUE DE SINGES
Alors que je prenais des photos bien tranquillement devant un temple, sans faire chier personne...







Un singe qui découvre les joies de la cigarette
L'ÎLE DE JAVA

LA CHASSE AUX VAGUES
Comme l'Indonésie est un paradis du surf, j'ai décidé de mettre à ce sport. Ouf. Ça fait mal aux bras, aux côtes et surtout aux mamelons, à cause du frottement sur la planche. En plus, la première fois que j'en ai fait, sur la superbe île de Gili Trawangan, c'était sur une plage de corail, ce qui fait que je me suis démoli les pieds à marcher sur les roches et les coraux. Malgré tout, j'ai réussi à me tenir debout sur la planche pendant quelques secondes, une grande fierté. La deuxième journée de surf, sur Lombok, c'était le paradis. Après environ une heure de moto, on arrive à une superbe plage isolée, pratiquement déserte. Au plus fort de la journée, on était pas plus de dix personnes dans l'eau. Pas de farce.

La troisième journée de surf, à Bali cette fois, fut un quasi-désastre. Les vagues étaient immenses, presque comme la tour du stade olympique. En plus, la plage et l'eau étaient bondées de monde. Je prends donc ma planche louée, et d'une démarche pas trop confiante, je me dirige vers l'eau avec des centaines de personnes assises derrière moi sur la plage. Alors que j'ai à peine mis les pieds dans l'eau, un premier mur d'eau arrive. Mais je peux pas reculer, puisque je dois me rendre au moins 30-40 mètres au large, là où les vagues commencent à briser. J'essaie d'avoir l'air du gars qui sait dealer avec ce qui s'en vient, et je place la planche devant moi en espérant qu'elle transperce la vague comme une flèche. Rien à faire, la vague me frappe comme un mur et me renvoie sur la plage, le cul dans le sable, la planche dix pieds dans les airs, et l'ego en morceaux devant tout plein de spectateurs. Je me relève comme si de rien n'était et j'essaie une deuxième fois. Rien à faire, aussitôt rentré dans l'eau, une autre vague me renvoie couché sur la plage comme un tata. Je me suis rarement senti aussi ridicule devant tant de monde. Ça m'a pris au moins quatre ou cinq tentatives pour enfin passer entre deux vagues et rejoindre les autres surfeurs 50 mètres plus loin.
Mais vraiment, le surf, c'est le fun.
LA CHASSE AUX VOLCANS
L'Indonésie est le pays ayant le plus de volcans actifs au monde, et à tout moment, il y en a quelques-uns en éruption. Plusieurs personnes sont tuées par les volcans à chaque année. Sur l'île de Java, j'ai décidé de monter le volcan Ijen et d'aller voir son fameux cratère, le genre de cratère dont les légendes sont faites. Le 31 janvier, mon chauffeur vient me réveiller à quatre heures du matin, et m'amène jusqu'à un petit village au pied de la montagne. Même si l'ascension dure seulement une heure, elle est vraiment difficile et à mi-chemin j'avais le coeur prêt à éclater. Mais une fois en haut, la vue est absolument extraordinaire. Au beau milieu d'un paysage lunaire se trouve un profond cratère au fond duquel il y a un lac de soufre à l'eau turquoise et fumante, avec des émanations (toxiques) qui s'élèvent jusque dans le ciel.



LE VOLCAN BROMO
Deux jours après Ijen, je me suis retrouvé seul (Myoung étant déjà rentrée en Corée) à deux pas du volcan Bromo, qui est pleine éruption depuis plusieurs semaines déjà. J'ai passé la nuit la plus solitaire de ma vie, alors que j'étais le SEUL et unique client de mon auberge en haut de la montagne, dans ma minuscule chambre humide et que j'entendais le volcan gronder, pendant que dehors il pleuvait de la cendre volcanique. Pas cool.
Malgré tout, le lendemain matin, la vue était encore une fois fantastique, même si c'était difficile de respirer et de voir à cause de la cendre. Pendant que je montais en voiture vers le volcan, à un moment donné j'ai vraiment eu envie d'écouter Eruption de Van Halen, pas de farce. Mais mon chauffeur connaissait pas ça.
Malgré tout, le lendemain matin, la vue était encore une fois fantastique, même si c'était difficile de respirer et de voir à cause de la cendre. Pendant que je montais en voiture vers le volcan, à un moment donné j'ai vraiment eu envie d'écouter Eruption de Van Halen, pas de farce. Mais mon chauffeur connaissait pas ça.
LE TEMPLE BOROBUDUR

FIN DE SEMAINE À SINGAPOUR